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Ségur du numérique en santé : Pour Medsquare, les dispositifs de partage d’imagerie méritent un choix éclairé

 

Écrit par : Medsquare - 22/05/23 - Dans Blog

 

Dans le cadre de la vague 2 du couloir imagerie, qui sera lancée lors du dernier trimestre de cette année, l’État financera 2 dispositifs bien distincts : un dispositif lié au RIS et un dispositif de partage de données d’imagerie (dispositif n°2 – DRIMbox).

Le partage de données d’imagerie fait figure d’exception au sein du Ségur du numérique, et ce pour au moins 3 raisons :

  • le dispositif DRIMbox est l’un des plus riches et des plus complexes du Ségur, avec plus de 200 exigences techniques,
  • centré sur l’accès à l’image, il joue un rôle crucial dans l’évolution des pratiques de partage pour une meilleure qualité de soin,
  • entièrement nouveau, il est libre de toute contrainte en ce qui concerne le choix de l’éditeur.

Pour Medsquare, qui accompagne depuis plus de 15 ans les professionnels de l’imagerie médicale dans leur transformation numérique, il est essentiel d’attirer l’attention des DSI des établissements de santé, des professionnels de santé et des acteurs de l’imagerie médicale sur les particularités du dispositif n°2 couloir imagerie, dans la vague 2 du Ségur du numérique.

« Medsquare est connue pour sa qualité de conseil et de service ; il est parfaitement naturel pour nous d’aider tous les acteurs concernés à bien comprendre ce qu’ils peuvent attendre d’un dispositif de partage d’imagerie », explique Dominique Gabriel, Président de Medsquare. « Nous mettons donc à leur disposition des informations sur notre site internet  www.medsquare.com, et répondons à toutes leurs questions via une adresse mail dédiée : segur@medsquare.com. »

Damien Jeandel et Christian Ducron, experts de l’échange et partage en imagerie médicale, animent cette campagne d’information chez Medsquare. « Nos dix ans d’expérience terrain sur les projets régionaux et territoriaux, et nos nombreux échanges avec l’ANS* et la DNS** depuis 18 mois, nous permettent de répondre à des questions tant d’ordre technique que fonctionnel ou réglementaire », précise Christian Ducron. « J’invite tous les acteurs du secteur à se renseigner sur les réels enjeux d’un tel dispositif avant de procéder à un choix.  Car en matière d’usages à court terme et de cybersécurité, les performances peuvent être très différentes d’une solution à l’autre selon l’interprétation qui est faite du cahier des charges de la DNS.»

*ANS : Agence du Numérique en Santé

** DNS : Délégation Numérique en Santé

 
 
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